One of the dropdown items appears by default and will be selected if the user clicks on the submit button immediately when they land on the page. But this isn’t a good user experience. You can get rid of it by coding in “select a language” as the first item of the dropdown. When the user clicks the select box to select an item, the dropdown is also covering the submit button — another thing that negatively affects good user experience. You can change this with the size attribute, which will show a certain number of items by default and show a scroll for other items in the dropdown. This also lets you get rid of the dummy first item, because some of the items will be visible to the user automatically. With the multiple attribute, you can allow the user to select multiple items from the dropdown. This makes 4 items visible by default.
↑ Marcho Chuquimia. La crisis indígena tumba a dos ministros. ↑ Bolivia minister resigns over Amazon road protest. ↑ Mabel Azcui. Evo Morales pide perdón por la represión policial de la marcha indígena. ↑ Bolivian president asks for forgiveness after attacks on indigenous groups. ↑ Clifford Kraus. Lauca Ene Journal; A Bolivian Legislator Who Just Says ‘Yes’ to Coca. ↑ Osvaldo León. Evo Morales Nominated for the 2007 Nobel Peace Prize. ↑ Menchú sella apoyo a Evo Morales y asegura nueva postulación. ↑ Lindsay Beyerstein. Unlikely Terror Suspects on the TSA No-Fly List. ↑ а б Steve Kroft. Unlikely Terrorists On No Fly List. ↑ Joseph E. Stiglitz. ↑ а б Haroon Siddique. Morales signs for La Paz football team. ↑ а б в Benjie Goodhart. Evo Morales 2-1 Angela Merkel. ↑ Диего Марадона сыграл в футбол на высоте 3600 метров. ↑ Pablo Stefanoni, Hervé Do Alto. La Revolucion de Evo Morales: de la Coca al Palacio. ↑ Julián Pérez Porto. Francisco Pineda Zamorano analiza en un libro la gestión de Evo Morales. ↑ Our Brand Is Crisis. ↑ Emilio San Pedro. Evo Morales’ life made into film. ↑ Президент Боливии товарищ Эво Моралес одобрил апологетический фильм о себе.
Vênêvitinoff n’êtait pas nê viable pour la nouvelle atmosphère russe. Pour pouvoir supporter l’air de cette êpoque sinistre, il fallait une autre trempe, il fallait être habituê dès l’enfance à cette bise âpre et continue, il fallait s’acclimater aux doutes insolubles, aux vêritês les plus amères, à sa propre faiblesse, aux insultes de tous les jours; il fallait prendre l’habitude dès la plus tendre enfance de cacher tout ce qui agitait l’âme et de ne rien perdre de ce qu’on y avait enseveli; au contraire, de mûrir dans une colère muette tout ce qui se dêposait au cœur. Il fallait savoir haïr par amour, mêpriser par humanitê, il fallait avoir un orgueil sans bornes pour porter la tête haute les menottes aux mains et aux pieds. Chaque chant d’Onêguine qui paraissait après 1825 êtait de plus en plus, profond. Le premier plan du poète avait êtê lêger, serein, il l’avait tracê dans un autre temps; il avait êtê entourê alors d’un monde qui se plaisait à ce rire ironique, mais bienveillant, enjouê.
En effet, pourquoi jouer ainsi la comédie en présence d’une mort, qu’en ce moment, je croyais vraiment imminente et inévitable? Du reste, je n’eus pas le temps de me rendre compte de cette bizarrerie des sentiments, ni d’admirer le manque d’égoïsme (ce qu’on nommerait aujourd’hui Valtruisme) de la pauvre femme, car dans ce moment les hurlements des flammes au-dessus de nos têtes redoublèrent de violence; mais dans ce même moment aussi, une voix d’airain (ce fut celle de notre ange sauveur), une voix éclata au-dessus de nous: «Que faites-vous là, malheureux? » Et aussitôt, sans savoir qui nous appelait, ni où il fallait aller, nous nous levâmes, la bonne femme et moi, comme poussés par un ressort, et nous nous lanèâmes à travers la fumée, à la suite d’un matelot en veste bleue, que nous voyons devant nous grimper le long d’une échelle de corde. Sans savoir pourquoi, je grimpai derrière lui sur cette échelle; je crois que dans ce moment, s’il s’était jeté à l’eau ou s’il avait fait n’importe quoi d’extraordinaire, je l’aurais aveuglément imité.
Aber ich trage ihn in meinem Herzen, wie die Franzosen sagen, ihn und seine liebenswürdige Frau. Grüssen Sie auch Ihre Frau und leben Sie alle recht wohl — und auf Wiedersehen. P.S. A propos, junger Prinz! Warum haben Sie dem H. Müller-Strübing ausgeschwatzt — was ich Ihnen von Manuel’s linkhändiger Familie sagte? Der geht nämlich ganz ruhig zu Manuel hin und spricht ihm davon. «Wer hat Ihnen das gesagt? » — brüllt Manuel. «Pietsch», — sagt Müller. «Und wer hat es dem Pietsch gesagt? » — heult Manuel. «Turgenjew», — sagt Müller. «So müsst ihr auf alle Ewigkeiten ihre verfluchten Mäuler halten, ihr Schwätzer, — stöhnt Manuel, — denn sonst bin ich in London compromittirt — ein todter Mann — und habe keine einzige Schülerin mehr! »5 Müller schweigt und geht und trinkt Bier; und ich — ich wasche den Kopf meinem altbewährten Freund Lodovico Ariosto Pietschio6. Empfangen Sie meinen Dank für den Kryloff1. Ich habe mich gleich an’s Lesen gemacht.