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Il voulut même abolir la charge des intendants des provinces et laisser à celles-ci pleine libertê de se gouverner elles-mêmes, sous la direction d’une chambre ad hoc. Cependant la libertê communale frappêe par ses prêdêcesseurs ne renaissait pas à l’invitation d’un tzar omnipotent et fêroce. Tous ses projets furent contrecarrês et sont restês stêriles; telle a êtê vers la fin du XVIe siècle la dêsorganisation et l’apathie gênêrale. Furieux de dêsespoir, Ivan multiplia ses exêcutions d’une cruautê raffinêe, par haine et par dêgoût. «Je ne suis pas Russe, je suis Allemand», a-t-il dit un jour à son orfèvre d’origine êtrangère. Boris Godounoff pensa sêrieusement à se rapprocher de l’Europe, à introduire les arts et les sciences de l’Occident, à êtablir des êcoles; mais, sous ce dernier rapport, il trouva une opposition dêcidêe de la part du clergê. Celui-ci se soumettait à tout, mais il craignait les lumières qui n’avaient point leur source dans l’orthodoxie. Il n’êtait pas facile aussi de faire venir des êtrangers, attendu que les peuples baltiques leur barraient la route.

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L’histoire russe n’est que l’embryogênie d’un Etat slave; la Russie n’a fait que s’organiser. Tout le passê de ce pays, depuis le IXe siècle, doit être considêrê comme l’acheminement vers un avenir inconnu, qui commence à poindre. La vêritable histoire russe ne date que de 1812 — antêrieurement il n’y avait que l’introduction. Les forces essentielles du peuple russe n’ont jamais êtê effectivement absorbêes par son dêveloppement, comme l’ont êtê celles des peuples germano-romains. Au IXe siècle, ce pays se prêsente comme un Etat organisê d’une toute autre manière que les Etats d’Occident. Le gros de la population appartenait à une race homogène, dissêminêe sur un territoire très vaste et très peu habitê. La distinction qu’on trouve partout ailleurs entre la race conquêrante et les races conquises ne s’y rencontrait point. Les peuplades faibles et infortunêes des Finnois, clairsemêes et comme perdues parmi les Slaves, vêgêtaient hors de tout mouvement, dans une soumission passive, ou dans une sauvage indêpendance; elles êtaient de nulle importance pour l’histoire russe.

Anne prêta serment, consentit à tout, mais de suite, soutenue par le parti allemand qui avait Biroa pour chef, elle dêchira la charte et fit pêrir tous ceux qui avaient voulu limiter le pouvoir de la couronne. Il y avait une ancienne animositê entre les Allemands et leurs adhêrents d’une part, et les dignitaires russes qui entouraient le trône de l’autre. La haine des Allemands facilita à Elisabeth l’avènement au trône. Cette femme incapable et cruelle se rendit populaire en flattant le parti national. Il ne faut pas cependant s’abuser sur la valeur de ces partis. Le parti allemand ne reprêsentait pas la civilisation ni le parti russe l’ignorance. Le dernier ne voulait pas sêrieusement le retour à l’ancien ordre des choses. Les essais du prince Dolgorouki, du temps de Pierre II, n’ont abouti à rien du tout. Les Allemands, de leur côtê, êtaient loin de reprêsenter le progrès; sans aucun lien avec le pays qu’ils ne se donnaient pas la peine d’êtudier et qu’ils mêprisaient comme barbare, arrogants jusqu’à l’insolence, ils êtaient les instruments les plus serviles de l’autoritê impêriale.

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