↑ William R. Denslow; Harry S. Truman. 10,000 Famous Freemasons from A to J Part One. Duke University Press, 1957. — С. Дата обращения: 2 октября 2017. Архивировано 23 мая 2014 года. ↑ White quits Jersey Road (англ.). The New York Times (26 мая 1933). — Resigns as Central’s President to Head Western Union. Дата обращения: 31 октября 2009. Архивировано 19 февраля 2012 года. ↑ 1 2 President of the Lehigh Valley Is Named to Head Western Union (англ.). The New York Times (18 июня 1941). Дата обращения: 31 октября 2009. Архивировано 19 февраля 2012 года. ↑ 1 2 3 Andrew Pollack. Western Union gets the message (англ.). ↑ 1 2 3 Western Union Chronology of Events — 1851-1995 (англ.). Дата обращения: 31 октября 2009. Архивировано 19 февраля 2012 года. ↑ Robert J. Amman (англ.). Forbes. — Profile. Дата обращения: 31 октября 2009. Архивировано 19 февраля 2012 года. ↑ Alan M. Silberstein (англ.). Forbes. — Profile. Дата обращения: 31 октября 2009. Архивировано 19 февраля 2012 года.
When you say, “The user flow is a bit confusing; perhaps simplifying the steps can improve user experience,” you’re being specific (user flow), clear (it’s confusing), and offering an actionable suggestion (simplifying the steps). This kind of feedback is like a map, guiding the designer on what to focus on and how to improve. It eliminates guesswork and sets the stage for effective design iterations. The more specific you can be, the better. Constructive feedback is about providing specific, clear, and actionable insights that help move our design projects in the right direction. Have empathy and respect, and never be rude when giving feedback to someone. Giving feedback is not just about what we say but how we say it. An empathetic and respectful tone can significantly affect how our feedback is received. Imagine telling your designer colleague, “I see where you’re coming from with this solution, but have you considered the accessibility aspect?
Des hommes comme Muller, Schlosser, Ewers, Lêvesque, consacrèrent une partie de leur vie à l’êtude de l’histoire de la Russie, d’une manière tout aussi scientifique que s’en occupèrent, sous le rapport physique, Pallas et Gmelin. De leur côtê, des philosophes et des publicistes observaient avec curiositê le phênomène d’un gouvernement despotique et rêvolutionnaire à la fois. Ils voyaient que le trône, fondê par Pierre Ier, avait peu d’analogie avec les trônes fêodaux et traditionnels de l’Europe. Les deux partages de la Pologne furent la première infamie qui souilla la Russie. L’Europe ne comprit pas toute la portêe de cet êvênement; car elle êtait alors distraite par d’autres soins. Elle assistait, respirant à peine, aux grands êvênements par lesquels s’annonèait dêjà la Rêvolution franèaise. L’impêratrice de Russie tendit naturellement sa main toute dêgoûtante de sang polonais à la rêaction. Elle lui offrit l’êpêe de Souvoroff, de ce bouclier fêroce de Prague.
Les ministres et les gênêraux du jour allaient le lendemain, chargês de fers, sur la place d’exêcution, ou êtaient traînês en Sibêrie. Ces revers s’opêraient si vite que le marêchal Munikh qui avait exilê Biron le rejoignit, banni à son tour, au passage de la Volga, où Biron avait êtê retenu quelques jours par le dêbordement du fleuve. Dans cette bufera infernale qui emportait les personnes avec une telle vitesse qu’on n’avait seulement pas le temps de s’habituer à leurs traits, pour comble d’ironie, nous ne voyons se maintenir qu’un seul individu, ce fut le chef de la chancellerie secrète, Bestoujeff; cet honorable dignitaire a conservê son poste, nonobstant toutes les rêvolutions, et de cette manière, il a eu l’occasion de questionner, de torturer et d’exêcuter tous ses amis, tous ses bienfaiteurs et tous ses ennemis. Peut-on croire après cela que le peuple ait vu dans ses chefs temporels des chefs de l’êglise orthodoxe?
Une connivence avec son ennemi suffit pour rêveiller la conscience. Bêlinnski et ses amis n’ont opposê aux Slaves ni une doctrine ni un système exclusif, mais une vive sympathie pour tout ce qui agitait l’homme contemporain; un amour sans bornes pour la libertê de penser et une haine tout aussi forte contre tout ce qui l’entrave: l’autoritê, la force ou la foi. Ils envisageaient la question russe et la question europêenne d’une manière tout à fait opposêe aux Slavophiles. Il leur sembla qu’une des causes les plus graves de l’esclavage où se trouvait la Russie êtait le manque de l’indêpendance personnelle; de là l’absence complète du respect de l’individu, du côtê du gouvernement, et d’opposition, du côtê des personnes; de là le cynisme du pouvoir et la longanimitê du peuple. L’avenir de la Russie sera d’un grand danger pour l’Europe et plein de malheurs pour elle-même, s’il n’entre des ferments êmanci-pateurs dans le droit personnel.